Depuis le précédent confinement, il n’y a pas eu de moyens supplémentaires pour l’Education Nationale : pas d’embauche pour diminuer les effectifs par classe. Maintenant, la deuxième vague est là. Le gouvernement affirme que la situation sanitaire est plus grave qu’au printemps ; en même temps, il prévoit une protection plus faible, en décidant de maintenir une activité économique plus importante, quoi qu’il en coûte en vies humaines. Le coronavirus circule activement mais le Président décide que les enfants comme les personnels de l’Education viennent augmenter le nombre de citoyens exposés à un risque plus élevé d’être contaminé. Dans l’Education Nationale, le « protocole sanitaire renforcé» se résume à une amélioration de l’aération des salles et au port du masque à partir de 6 ans pour les élèves. Les seuls masques distribués aux professeurs à la rentrée des classes se sont avérés toxiques et nous attendons toujours la nouvelle livraison de masques promis.
C’est en pleine période estivale qu’un changement de premier ministre a été décidé, mais dans le doute, le nouveau gouvernement Castex change de discours mais pas les choix économiques qui servent les intérêts du grand patronat , du capital. Cela se traduit encore par des sacrifices pour les jeunes, les salariés, les privés d’emplois.
Sur la retraite, on annonce une nouvelle consultation en fin d’année et début 2021, mais sur le fond pas de changement sur la mise en place d’un système à points qui repousserait l’âge de départ à la retraite et appauvrirait les futurs retraités.
Bonne rentrée à tou-te-s
Bienvenu·es dans l’académie de Versailles et dans le département de l’Essonne!
Bravo pour votre concours !
Cette année qui mêle pour vous la formation professionnelle dans vos écoles et les cours à l’INSPE, est particulière et d’une très grande importance pour votre carrière d’enseignant·e.
La CGT est toujours aux côtés des personnels de l’Éducation nationale pour assurer leur défense et les aider à défendre leurs droits et les militantes et les militants sont présent·es dans les écoles, les collèges, les lycées, les services administratifs et bien sûr dans les INSPE.
Ils et elles vous apporteront les compléments d’information nécessaires. Nous serons à vos côtés, tout au long de l’année, comme nous le sommes pour tous les personnels de l’Éducation nationale.
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Les personnels de l’Education Nationale de Ris-Orangis ont eu la surprise de découvrir cette communication de la Mairie. Face aux interrogations suscitées par ce recrutement, vous verrez ci-dessous la réponse édifiante du Maire
Les conseils de classe de terminale se déroulent à l’heure actuelle dans les lycées. Ils revêtent cette année une importance particulière puisque la plupart des candidat.es au baccalauréat général et technologique peuvent d’ores et déjà calculer, à partir de leur moyenne annuelle dans chaque discipline s’ils et elles vont obtenir le diplôme tant attendu. Pour l’écrasante majorité des élèves, le diplôme est obtenu, une petite minorité passe au rattrapage, le nombre d’élèves ajourné.es est marginal. Déjà les lycéen·nes s’autorisent à fêter le diplôme et se projettent déjà sur les études supérieures avant les résultats officiels. Pour certain·es, c’est maintenant les résultats parcoursup qui les préoccupent, les stressent parfois et ils et elles sont absorbé.es par cette étape.
Les annonces de Macron, puis du Ministre, d’un déconfinement « progressif » des écoles à partir du 11 mai, alors même que tous les lieux publics et d‘enseignement supérieur resteront fermés, suscite légitimement de l‘incompréhension et des inquiétudes. Pour la CGT, il est évident que cette décision n’avait pour but principal que de ré-pondre aux injonctions du patronat en « libérant » les salarié·es de la garde à domicile de leurs enfants pour la reprise du travail. L’alibi des difficultés scolaires et sociales mis en avant par le président et son ministre semble particulièrement cynique, alors que la politique du gouvernement contribue depuis 4 ans à l’aggravation générale de ces inégalités.
Depuis le 7 mai, le département étant classé en zone rouge, la réouverture des collèges est repoussée et sera décidée à la fin du mois de mai au regard de la situation épidémiologique, après observation des trois premières semaines de déconfinement progressif. Il en est de même pour les lycées. Si les conditions sont positives et si le département a basculé en vert dans la carte sanitaire quotidienne, la réouverture est envisagée alors à partir du 2 juin.
Dans la fiche 3 du B0 n°20 du 14 mai 2020, il est rappelé dans le cadre de la réouverture des établissements publics locaux d’enseignement, les cas d’exemption de retour à l’activité sur site des personnels devant assurer l’accueil des élèves et les activités d’enseignement.
Parmi les personnels indisponibles pour un retour sur site, figurent les personnels qui vivent dans le même domicile qu’une personne malade (pour une durée de quatorze jours à compter de l’apparition des symptômes), les personnels qui relèvent de la catégorie des personnes vulnérables et les personnels qui vivent dans le même domicile qu’une personne vulnérable.
Réouverture des écoles le 11 mai :
Pour la CGT Éduc’action c’est non !
À la suite des annonces d’Edouard Philipe, de nombreuses questions essentielles demeurent ou sont encore plus floues. Le gouvernement renvoie beaucoup de responsabilités aux collectivités territoriales, aux personnels de l’éducation nationale et de la petite enfance mais également aux citoyens. On demande ainsi aux parents de décider eux-mêmes s’ils doivent envoyer ou non leurs enfants à l’école avec ce dilemme : la santé des enfants ou la pression des employeurs pour reprendre le boulot.
Non, l’école n’est pas une garderie pour permettre aux parents de retourner au travail. Plus que jamais, la CGT Éduc’action exige l’abandon de cet objectif du 11 mai. La CGT Education et l’UD-CGT 91 ont écrit aux maires de l’Essonne pour leur demander d’abandonner cette rentrée de mai.
N’hésitez pas à lire notre courrier
Vous trouverez les communiqués
- De la confédération CGT : « Encore trop de questions sans réponses concrètes pour garantir la santé des citoyens ! »
- De la CGT Educ’Action : Réouverture des écoles : Pour la CGT Éduc’action c’est non !
Evry, le 5 mai 2020
Mesdames et Messieurs les Maires et les élu-e-s municipaux,
Le 28 avril dernier, le Premier Ministre a maintenu la fermeture des collèges et des lycées, mais il a confirmé la réouverture de toutes les écoles, même dans les départements où les facteurs de risques sont encore importants.
Si l’on se place dans l’objectif du combat efficace contre la propagation du virus, cette décision est totalement incompréhensible. Cette annonce inquiète à juste titre l’ensemble de la communauté éducative.
Le mouvement départemental arrive ! La saisie des vœux se fera normalement du 27 avril au 11 mai.
La CGT est à votre côté ! Si vous avez des questions ou souhaitez plus de précisions, écrivez-nous (sdencgt91@gmail.com), nous ne manquerons pas de répondre à vos interrogations et pourrons vous épauler dans le suivi de votre mouvement.
Attention, les circonscriptions ont été modifiées. Nous vous invitons à la plus grande vigilance*
Nous vous rappelons qu'en raison du confinement, nous ne pouvons plus tenir de permanences et accéder à nos lignes fixes.
Notre site est également à votre disposition : vous y retrouverez une présentation de la circulaire, une présentation du barème et une FAQ
Notre page Facebook donnera également des informations en temps réel.
Samedi 29 février, à la suite d’un conseil des ministres annoncé comme dédié aux mesures de prévention contre le coronavirus, on apprenait que le président de la République et le 1er Ministre choisissaient d’utiliser l’article 49-3 de la constitution pour couper court aux débats contradictoires à l’Assemblée nationale sur le projet de réforme des retraites.
Profiter d’un problème sanitaire grave pour essayer de régler en catimini un conflit social majeur, est un pur scandale !
Une nouvelle fois, et comme le dénonce la CGT depuis des mois, le gouvernement affiche sa conception du dialogue et de l’écoute ... alors qu’il fait face à un rejet massif de ce projet de loi par une très grande majorité de l’opinion publique. Le gouvernement s’enfonce dans le déni de cette réalité, et poursuit son objectif pour que la réforme soit adoptée avant l’été. Mais il n’est pas assuré de pouvoir tenir son calendrier.
Lire la suite du tract
La température monte, les inégalités sociales aussi !
Canicule de l’été dernier, absence de l’hiver, incendies monstres en Afrique, Sibérie, Amazonie, Indonésie et plus récemment en Australie, +18 degrés en Antarctique, fonte des glaciers… des événements climatiques exceptionnels tout autour de la planète sont désormais de plus en plus fréquents. Cette situation n’est pas née de rien. Elle est le résultat de décennies de choix politiques qui ont affaibli les conquêtes sociales, les services publics, qui se sont soumis à des doctrines économiques inefficaces et destructrices, qui ne reconnaît que la toute-puissance du secteur financier et fait des cadeaux fiscaux aux multinationales les plus polluantes. Ces choix politiques sont nés d’un système : Le capitalisme.
En ce 8 mars 2020, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, marchons tou·te·s pour exiger l’égalité femmes-hommes et le retrait de la réforme des retraites.
N'hésitez pas à consulter le site de la CGT Educ'action sur l'égalité Femme / Homme
et également le site ÉGALITÉ PROFESSIONNELLE de la CGT
Pour que les femmes soient les grandes gagnantes, nous voulons:
- Sanctionner les employeurs qui discriminent
- Lutter contre la précarité et les temps partiels subis
- Revaloriser les métiers à prédominance féminine
- Prévenir les violences sexistes et sexuelles et protéger les victimes
- Des droits pour la maternité et la parentalité
RECHERCHE ET ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR : un sursaut d’investissement est nécessaire
La loi de programmation pluriannuelle de la recherche (LPPR) en cours de finalisation mobilise la communauté scientifique dans les organismes et les universités.
Depuis le début de l’année, les chercheurs multiplient les actions et les grèves, comme celles des revues scientifiques, tribunes collectives dans la presse, démissions de jury, partiels reportés dans les universités…
On ne compte plus les motions et les
déclarations qui remontent des laboratoires, des instances des organismes et des conseils scientifiques des universités. La mobilisation s’amplifie et un appel à bloquer les facs
et les labos est lancé pour la journée du 5 mars.
Les orientations annoncées dans le cadre de la loi dite LPPR inquiètent la communauté scientifique qui dénonce la poursuite et l’approfondissement des politiques menées (financement sur projet,
contrat précaire pour les chercheurs, mise en concurrence des organismes, etc.). Elles ne peuvent que conduire à une aggravation d’une situation déjà très problématique et
préoccupante.
49.3 : refusons le passage en force inacceptable
Au détour d’un conseil des ministres extraordinaire organisé un samedi censé être dédié à la crise du coronavirus, le gouvernement a fait le choix de déclencher l’article 49.3. Face à cette volonté de faire passer en force le projet de réforme Macron, la colère chez les travailleurs et travailleuses est encore montée d’un cran.
L’intersyndicale interprofessionnelle, réunie ce matin, a décidé d’organiser des rassemblements dès aujourd’hui et des manifestations devant les préfectures et sous-préfectures demain, mardi 3 mars, à l’occasion du débat sur les motions de censure déposées par l’opposition.
La CGT appelle à faire de ce mardi une grève interprofessionnelle massive.
Ce passage en force du gouvernement ne peut pas rester sans réponse.
C’est pourquoi, la CGT Éduc’action appelle l’ensemble des personnels du ministère de l’éducation qui le peuvent, à se mettre en grève le mardi 3 mars.
Cette semaine, les manifestations du 8 mars ainsi que la journée de grève dans l’enseignement supérieur et la recherche du jeudi 5 mars sont ancrées dans le calendrier de lutte.
La CGT Éduc’action appelle également à l’organisation d’assemblées générales partout pour débattre des modalités d’action à mettre en œuvre, comme, par exemple, rejoindre l’enseignement supérieur le 5 mars, en réponse au coup de force du gouvernement.
Depuis le 5 décembre, la mobilisation sociale contre la réforme des retraites a été ponctuée par des temps forts exceptionnels autour de grèves et de manifestations interprofessionnelles et inter-syndicales.
Plus les jours passent, plus le rejet de ce projet est massif tant dans l’opinion publique que par des experts économiques de tous bords.
Le conseil d’état (qu’on ne peut qualifier de « révolutionnaire ») a également émis un avis négatif, en dénonçant des projections financières floues et partielles ainsi qu’un manque de visibilité pour les futurs retraités.
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Grigny est une des communes les plus jeunes et les plus pauvres de France. L’ensemble des établissements scolaires y est classé en REP+. L’an passé déjà l’ensemble des écoles et collèges de la ville se sont mobilisés avec les parents d’élève, en vain, pour dénoncer les baisses de moyens dans l’Education Nationale alors que les cités éducatives se mettaient en place sur le modèle du plan « Grigny 2020 ».
Lundi 24 février : 17h30 Assemblée Générale de ville 1er et 2nd degré
Jeudi 27 février : La CGT Education 91, en soutien total des actions menées par les collègues, a déposé un préavis de grève 1 er et 2nd degré pour le jeudi 27 février afin d'obtenir des moyens à la hauteur des difficultés sociales de la ville. Rendez-vous à 10 h devant le centre culturel Sydney Bechet (Grigny)
Les deux semaines qui viennent de s’écouler ont confirmé le rejet suscité par le projet de réforme des retraites, avec des manifestations massives et des taux de grévistes importants. Mais elles ont aussi été le théâtre d’un véritable soulèvement de la part des élèves (soutenu.es bien souvent par les parent.es d’élèves) et des enseignant.es contre les épreuves « E3C » (Epreuves Communes du Contrôle Continu).
Dans les rassemblements devant les portes des lycées, une même revendication : l’annulation des E3C, l’annulation du contrôle continu introduit par la réforme Blanquer du bac et le retour à un vrai diplôme national, avec des épreuves nationales, anonymes, terminales.
Nos organisations syndicales académiques appellent, à décider la grève le 6 février pour retourner à proximité du ministère à 11h, avant d’aller rejoindre la manifestation interprofessionnelle organisée par les confédérations et fédérations pour le retrait du projet de réforme des retraites
Ni E3C, ni bac maison, ni retraite Macron :
Nos revendications doivent être entendues !
Alors que le pays est en ébullition, que des centaines de milliers de salariées et de salariés sont en lutte, le gouvernement s’acharne à imposer son projet de casse de nos retraites. Et pour ce faire, il utilise tous les ressorts antidémocratiques : la violence et la duperie !
A grand renfort de communication, nous avons droit depuis des mois au même refrain: «Notre système de retraites est archaïque, les retraités sont des privilégiés, les femmes vont y gagner ... ». Mensonges que tout cela ! Le véritable enjeu de cette réforme des retraites, c’est nous faire travailler plus longtemps, de faire baisser les pensions et d’offrir la gestion des retraites à l’appétit d’entreprises privées. Personne n’est dupe ! Pour preuve les derniers sondages confirment qu’une très large majorité des Français (62 %) sont pour le retrait du projet de retraite à points. À l’image de la population, nous sommes plus que jamais déterminés et mobilisés jusqu’au retrait du projet de réforme dont seul le patronat et ses affidés souhaitent la mise en place.
La totalité des instances consultatives des caisses de sécurité sociale et retraite ( MSA, CARSAT, CNRACL ) ont émis un avis défavorable sur ce projet de loi, car il confirme la disparition de la branche vieillesse et ouvre la voie au démantelement de la sécurité sociale. Même le Conseil d’État l’a fortement critiqué. De plus en plus de voix s’élèvent contre ce projet de réforme y compris dans les institutions.
Dans l’action ! Jusqu’au retrait !
Faisons du Jeudi 6 février un grand moment de lutte en faisant massivement grève pour participer à la manifestation.
Soyons encore plus nombreux à nous exprimer dans la rue pour montrer notre détermination et gagner le retrait du plan Macron De semaine en semaine, les mobilisations pour le retrait du projet de réforme des retraites se poursuivent, entraînant chaque jour de nouveaux travailleurs et jeunes dans la grève. RATP, SNCF, raffineries, ports et docks, Energie, Etudiants, Education Nationale, Avocats, Culture, personnels et médecins hospitaliers… le mouvement s’étend à de très nombreux secteurs. Déjouant les pronostics du gouvernement, les mobilisations ne faiblissent pas et l’opinion publique reste très majoritairement hostile au projet gouvernemental.
Lire la suite du flyer
Le mouvement social, débuté le 5 décembre, ne s’essouffle pas. Bien au contraire, il se transforme pour ancrer toujours plus dans les entreprises et dans le quotidien.
Les derniers sondages confirment qu’une très large majorité de Français (62 %) sont pour le retrait du projet de retraite à points. Même le conseil d’Etat a fortement critiqué ce projet de loi !
A l’image de la population, nous sommes déterminés et mobilisés jusqu’au retrait du projet de réforme dont seul le patronat et ses affiliés souhaitent la mise en place !
Le gouvernement s’acharne à vouloir casser notre système de retraite solidaire au profit d’entreprises privées Il refuse, de répondre aux questions légitimes sur la durée de cotisation, le montant des futures pensions...
En plus des grèves et des manifestations, de nombreux piquets, rassemblements, initiatives se tiennent quotidiennement en Île-de-France.
Loin de s’affaiblir, le mouvement social initié depuis plusieurs semaines s’intensifie jour après jour. Nous sommes toujours déterminés et mobilisés, jusqu’au retrait du projet de réforme dont seul le patronat et ses affiliés souhaitent la mise en place !
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Prochains événements
Concert de soutien aux grévistes
en reconductible et à leurs familles !
22 janvier 2020 à 19 h 00
Manifestation unitaire et interprofessionnelle
23 janvier à 17 h 30
Depuis le 5 décembre et une mobilisation exceptionnelle, des semaines de grève, des mobilisations monstres, des manifestations qui rassemblent toujours plus largement, le gouvernement continue à mépriser les salariés et l’opinion publique. Il faut le faire céder en élargissant encore plus la grève et la mobilisation.
Télécharger la suite du tract
La mobilisation contre le projet de réforme des retraites ne faiblit pas bien au contraire. Enfermé dans son mépris, le gouvernement maintient sa politique de destruction sociale encouragé par le Médef.
Ne les laissons pas précariser l’avenir !
Par son refus d’entendre la colère, le gouvernement porte seul la responsabilité de la poursuite et du renforcement de la grève : il doit céder et retirer son projet !
Des grèves massives et déterminées
restent le meilleur moyen de le contraindre !
L’Union Régionale CGT Île-de-France appelle l’ensemble des salariés à se réunir en assemblées générales afin de généraliser la grève et de se saisir des initiatives organisées dans les localités le 10 janvier et de participer massivement à la manifestation régionale du samedi 11 janvier ainsi qu’aux autres qui suivront.
N’hésitez pas à télécharger le flyer pour le distribuer massivement.
Malgré la volonté de pourrissement du gouvernement, le mouvement et la grève se sont maintenus dans les secteurs mobilisés durant les vacances (SNCF, RATP, raffineries, énergie, ports,...). Les personnes de l’éducation ont participé aux différentes actons de blocages, tractages, rassemblement et manifestation durant les vacances.
Macron lors de ses « vœux » a affirmé qu’il irait au bout de sa réforme, niant de fait la colère et les revendications de milliers de salarié-es dans le pays. Pourtant d’ores et déjà il a aménagé sa réforme pour certains secteurs afin d’éviter la contagion. C’est le signe d’une certaine fébrilité. Il est donc nécessaire de renforcer la mobilisation, d'ancrer et de généraliser la grève pour gagner le retrait de ce projet de destruction de nos retraites. La CGT Educ’action appelle donc à faire de la semaine de rentrée une semaine de (re)mobilisation. La CGT Educ’action 91 appelle à tenir des réunions syndicales dans tous les établissements.
Nous devons préparer une journée massive de mobilisation le jeudi 9 janvier et prolonger dès le 10 janvier, puis avec une manifestation le 11 janvier sur Paris (heure et lieux à venir).
Pour mobiliser autour de vous, dans votre établissement, vous trouverez ici le tract de l’URIF-CGT et le tract de la CGT Educ'action.
Les annonces du gouvernement ne changent rien. Au contraire, les déclarations du 1er Ministre du 11 décembre aggravent les propositions contenues dans le rapport Delevoye !
Le gouvernement reste sourd aux exigences exprimées par les millions de salariés, jeunes, retraités, privés d’emploi, mobilisés massivement depuis des semaines et soutenus majoritairement par l’opinion publique. Par son refus d’entendre la colère, le gouvernement porte seul la responsabilité de la situation.
Le choix du sacrifice de la jeunesse de notre pays est assumé par le gouvernement, non content de faire une réforme systémique, il annonce une modification des paramètres de départ en retraite avec un « âge d’équilibre à 64 ans ».
Ainsi, toutes les classes d’âge et toutes les professions public et privé sont concernées par les mesures annoncées par le 1er ministre.
Aujourd’hui, seul le MEDEF se réjouit du projet gouvernemental qui amène de nouvelles organisations syndicales à se mobiliser, ou à participer à la mobilisation exceptionnelle que nous connaissons depuis le 5 décembre.
Avec ce projet de retraite à points, nous sommes toutes et tous perdants ! Cette réforme provoquerait un vrai recul de société : une baisse généralisée de toutes les pensions et le recul de l’âge de départ en retraite.
Ensemble et mobilisés, en grève reconductible et en manifestant, salariés du public et du privé, fonctionnaires, enseignant, agents RATP, hospitaliers, cheminots, retraités, citoyens, étudiants et lycéens, imposons au gouvernement le retrait de cette réforme.
La mobilisation du 5 décembre s'annonce forte. Dans un cadre intersyndical, nous proposons aux collègues du secteur de se réunir à Evry le mardi 3 décembre à 17h30 à la maison des syndicats afin de discuter des actions à mener à partir du 5 décembre.
N’hésitez pas à télécharger le communiqué de la CGT Educ’action Versailles (78-91-92-95) et à le diffuser massivement.
:
Toutes et tous ensemble, défendons nos retraites ! Gagnons une autre répartition des richesses !
Le gouvernement avec son projet veut nous obliger à travailler plus longtemps avec une pension en baisse. Ce n’est pas acceptable.
La CGT Educ’action Versailles se félicite de la mobilisation très importante en vue de la grève interprofessionnelle du 5 décembre. Plusieurs milliers de collègues se sont déjà prononcés pour la grève dans l’académie.
La grève du 5 décembre sera une étape décisive dans le déclenchement d’une action plus longue.
La CGT Educ’action Versailles appelle :
- à participer massivement à la manifestation du parisienne du 5 décembre ;
- à reconduire partout où c’est possible ;
- à faire de la journée du 6 une journée de mobilisation et d'élargissement de la grève ;
- à s'emparer de la manifestation contre le chômage et la précarité du samedi 7 décembre, RDV 12h00 à Montparnasse et départ de la manifestation à 14h00 ;
- à faire de la journée du 10 décembre une autre journée de grève massive. Elle appelle à porter cette revendication dans les AG.
Vous trouverez le communiqué « Halte aux violences contre nos élèves ! ».
Un système par points pour réduire le montant des pensions
Cette réforme concerne tou·te·s les salarié·es, les travailleurs du privé, les fonctionnaires. Elle entrerait en vigueur à partir de la génération née en 1963, qui seraient les derniers à pouvoir partir en retraite en 2025 à l’âge légal de 62 ans. A partir de 2025, il est annoncé une conversion des droits acquis dans l’ancien système (calcul selon le nombre d’annuités et de trimestres cotisés) en points, avec un calcul sur l’ensemble de la carrière. L’abandon du calcul de la retraite sur les 25 meilleures années pour les salariés du privé et sur les six derniers mois pour ceux de la fonction publique se traduira pour tou·te·s par une baisse des pensions, de plusieurs centaines d’euros.
Grève unitaire le 5 décembre
Face à cette menace sur notre système de retraite, Une première journée d’action est organisée le 5 décembre dans l'unité :
Vous trouverez ici le tract intersyndical
Télécharger le tract d'appel à la grève du 5 décembre de la CGT Éduc'Action
Vous trouverez ici un modèle de déclaration d’intention de grève.
Nous vous invitons à déposer des déclarations d’intentions sur l’ensemble des journées du mois de décembre.
Pour ne plus revivre de tels drames !
A la demande des organisations syndicales de l’Éducation, un CHSCT ministériel extraordinaire va également se réunir à une date inconnue pour le moment. La direction de la CGT Éduc’action, réunie le 27 septembre dernier, a décidé d’appeler l’ensemble des personnels à la grève le jour même de cette réunion du CHSCT et souhaite que cette mobilisation soit portée par le plus grand nombre possible d’organisations et de personnels
Vous trouverez ici le communiqué de la CGT
Jeudi 3 octobre se tiendra un CHSCT extraordinaire en Seine Saint Denis. A cette occasion, la CGT Éducation 91, avec les organisations syndicales SNUipp, SNES, FSU, Snudi-FO, Sgen-CFDT Se-UNSA, et Sud Education proposent un rassemblement :
le jeudi 03 octobre
A 18H devant la DSDEN de l’Essonne
(Boulevard de France, Evry)
Dans l’éducation comme ailleurs,
le travail ne doit plus tuer
C’est avec une profonde tristesse que la CGT Éduc’action 91 a appris le décès d’une collègue directrice d’école de Pantin qui a mis fin à ses jours sur son lieu de travail le 21 septembre dernier.
Le constat porté par cette enseignante est sans appel et reflète parfaitement le sentiment de très nombreux-ses collègues : un métier et des missions largement vidés de leur sens, une accumulation excessive des tâches, des attentes-exigences administratives et hiérarchiques qui nient l’humain et le lien social… La longueur de la liste des reproches suffit à comprendre pourquoi les collègues craquent.
Face à de tels actes tragiques, la CGT Éduc’action dénonce le silence du ministère de l’Éducation nationale ou sa volonté de minimiser leurs origines et leur portée.
Lire le communiqué de presse de la CGT Éduc’action et de la CGT Éduc’action 93
Emmanuel Macron impose des réformes qui remettent en cause nos acquis et menacent la cohésion de notre société. Après le Code du travail, la Sécurité sociale, l’assurance chômage, c’est la Fonction publique qui est en train de subir une attaque sans précédent. Sans oublier les attaques incessantes contre l’Éducation nationale et ses personnels.
Notre ministre Blanquer a beau se dépeindre en défenseur des personnels et en homme d’écoute, la petite musique ne parle pas. Depuis le début de l’année, des mobilisations, aussi bien dans la voie professionnelle que dans les autres secteurs de l’éducation, réunissent des milliers de collègues pour exprimer notre refus de la politique éducative menée par ce gouvernement.
La CGT Educ’action Versailles et le Snuep-fsu Versailles dénoncent depuis le début la casse de l’enseignement professionnel qui est organisée :
- Réduction des horaires d’enseignement aussi bien dans le professionnel que dans le général.
- Imposition des chefs d’œuvre et de la co-intervention, sans temps de concertation.
- Mixage des publics et des formations
- Des programmes écrits en quelques semaines, avec une vision utilitariste des enseignements généraux.
Appel unitaire à la grève le 17 juin
Depuis plusieurs mois, les personnels de l’éducation se mobilisent dans de nombreux établissements et se sont rassemblés dans des actions nationales d’ampleur.
Que ce soit du côté des parents d’élèves ou des enseignants, l’inquiétude et la colère sont grandes devant les réformes du lycée et du baccalauréat, de la voie professionnelle, la loi dite de la « confiance » et l’ensemble des transformations du système éducatif imposées par le Ministre.
Devant le mal-être croissant des personnels, paupérisés et toujours en proie à l’austérité salariale, mis devant de graves difficultés professionnelles, le Ministre n’a jusque-là répondu que par le refus de toute discussion. Pire, des collègues faisant part de leurs critiques ont été victimes de rappels à l’ordre et de mesures d’intimidation ; les pressions et les méthodes de gestion autoritaires se développent.
RENDEZ VOUS
STATION RUE DU BAC (Ligne 12)
A 14 H 00
Samedi 18 mai : mobilisé-es pour un projet éducatif ambitieux !
Manifestation à Paris à 13 h 30
à Montparnasse vers la Place d’Italie
Partout en France, depuis de nombreux mois, les actions locales se multiplient, démontrant l’ancrage et la vigueur de la mobilisation de tous les personnels contre les réformes : loi sur l’école de la confiance, lycée Blanquer, réforme du bac, loi ORE, ParcourSup, enseignement professionnel et Fonction publique. Pour les organisations FSU, CGT-Education et Sud-Education, il est temps de montrer que le gouvernement ne peut pas poursuivre sa politique de destruction de l’Éducation nationale.
Non, les enseignantes et les enseignants, mais également les familles et de nombreux élus ne veulent pas de cette modification radicale de la structuration de l’école avec la mise en place des « établissements des savoirs fondamentaux ». Ils dénoncent le cadeau fait à l’école privée avec l’instauration de l’instruction obligatoire à 3 ans. Et ils n’acceptent pas la possibilité de voir confier des classes à des étudiantes et étudiants sans formation.
Depuis plusieurs semaines, l'Education Nationale est fortement mobilisée, contre Blanquer et ses réformes. Ces attaques contre l'Education, s'inscrivent dans le projet sur la Fonction Publique que tente d’imposer ce gouvernement
- Suppression des compétences des Commissions paritaires. C’est la fin du paritarisme et de la transparence dans les mutations et promotions.
- Projet de supprimer à terme 120 000 emplois
- Développement de la précarité
Vous trouverez ici le tract de la CGT Education
L'ensemble des organisations syndicales de la Fonction Publique appellent à une grande journée de grève et de mobilisation : Jeudi 9 mai
Pour le
1er degré, vous trouverez ici
un modèle de déclaration préalable. Attention ! Vous avez jusqu’à lundi 7
mai pour faire parvenir votre déclaration d’intention à la circonscription (jusqu’à minuit avec votre adresse mail professionnelle).
Départ à 14h
de Denfert-Rochereau
en direction des Invalides
De très nombreux salariés du public, du privé, les retraités se mobilisent pour défendre l’emploi, le service public, ou exiger des augmentations de salaires et des pensions ! Ce sont les cheminots, les salariés de la Fonction publique, de l’enseignement, de l’énergie, de la justice, des Ephad, de Carrefour, d’Air France, ainsi que les étudiants contre la sélection pour l’entrée à l’Université. Les réformes ultralibérales s’amplifient en France. Après la loi travail, les réformes de l’assurance chômage et de la formation professionnelle, la loi relative à l’orientation et à la réussite des étudiants (ORE), Macron vient d’annoncer pour 2019 son projet de réforme des retraites (privé – public) en un système unique qui aboutirait une nouvelle fois à une baisse des pensions.
MOTION DES PERSONNELS
DE L’EDUCATION NATIONALE
Réunis à Evry en AG de grévistes
Le 04 avril 2019
Les 200 personnes de l’éducation nationale réunies avec les syndicats, CGT, FNEC FP FO,SE UNSA, SNES SNUIPP et SUD ont échangé du contenu de la loi Blanquer dite « école de la confiance », des réformes des lycées et des lycées professionnels, de parcours sup’ et de la fébrilité ministérielle.
Les constats ont été faits que les mobilisations des 19 et 30 mars et du 4 avril ont ébranlé l’assurance du ministre Blanquer qui utilise une communication de crise dont nous ne sommes pas dupes.
Le Ministère s'inquiète des fortes mobilisations des 19, 30 mars, des actions locales et de la grève du 4 avril. Il reçoit les organisations syndicales dans des réunions bilatérales. Vous trouverez des informations issues de la réunion entre le Ministère et la CGT Educ'Action sur les EPFS (Etablissement Public des Savoirs Fondamentaux).
Cette réunion était dirigée par la conseillère sociale de Blanquer, avec la DGESCO, la DGRH et le conseiller en charge du suivi de la loi au parlement.
La loi appelée « Ecole de la confiance » ou « Loi Blanquer » est en train d'être votée, un projet de loi sur l'école qui risque de transformer gravement le service public d’éducation !
Silence dans les rangs!
Dans son article premier, cette loi contient des dispositions dangereuses pour la liberté d’expression des personnels. Le motif de sanction disciplinaire (« porter atteinte à la réputation du service public ») est une expression suffisamment floue pour y inclure toute critique des politiques scolaires. Après le mouvement #PasDeVague, il ne s’agit ni plus, ni moins, que d’une tentative de bâillonnement des personnels!
Samedi 30 mars Manifestation 14h
De la Place du Panthéon, vers la Place d’Italie
Jeudi 4 avril Grève et manifestation
Télécharger l'appel intersyndical 1er et 2d degré - Ile de France
Les organisations syndicales signataires appellent à un grand
RASSEMBLEMENT POUR L’ABANDON de la Loi Blanquer
le mercredi 27 mars à 14h00
devant la DSDEN 91 Boulevard de France à Evry
Collègues du 1er et du second degré,
SOYONS VISIBLES, FAISONS DU BRUIT POUR NOUS FAIRE ENTENDRE !
L’article 1 de la loi sur « l’école de la confiance », remet en cause la Liberté d'Expression des personnels en dehors de l’Ecole. L’école maternelle est menacée, la loi prévoit la possibilité de création de jardin d’enfants et d’un transfert des activités pédagogiques vers les collectivités territoriales.
Voici quelques exemples de ce qui nous attend.
Les dernières réformes du gouvernement sont autant de charges violentes contre le service d’éducation que nous voulons, avec notamment de fortes atteintes à la liberté pédagogique.
L’année prochaine, plus de 600 élèves seront accueillis dans les écoles de l’Essonne. Les moyens n’accompagnent pas la hausse démographique. 20 postes de remplaçant-es seront supprimés. Les conditions de travail des personnels et d’études des élèves se dégraderont au quotidien. Depuis des années, le blocage du point d’indice a fortement dégradé le pouvoir d’achat.
Dans les écoles de l’Essonne, la mobilisation du 19 mars a été très forte, plus d’une école sur 10 était fermée. Le matin, avant de rejoindre la manifestation Ile-de-France, plus de 150 Professeur-es des Ecoles se sont réuni-es en Assemblée Générale.
Plusieurs rendez-vous ont-été décidé :
Mercredi 27 mars : rassemblement devant la DSDEN-91 à Evry à 14h
Samedi 30 mars : participation à la manifestation à Paris
Jeudi 4 avril : journée de grève et nouvelle Assemblé Générale
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L’année prochaine, plus de 600 élèves seront accueillis dans les écoles de l’Essonne. Les moyens n’accompagnent pas la hausse démographique. 20 postes de remplaçant-es seront supprimés. Les conditions de travail des personnels et d’études des élèves se dégraderont au quotidien. Depuis des années, le blocage du point d’indice a fortement dégradé le pouvoir d’achat.
Les dernières réformes du gouvernement sont autant de charges violentes contre le service d’éducation que nous voulons, avec notamment de fortes atteintes à la liberté pédagogique.
Depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, le mécontentement s’étend dans tous les secteurs et se manifeste à travers tout le pays. Toutes et tous, salarié·es, précaires, retraité·es aspirent à plus de justice sociale et à vivre dignement.
Le pouvoir d’achat est une préoccupation prégnante et revendiquer une augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux est bien légitime!
Les menaces qui pèsent sur les services publics, année après année, fragilisent l’égalité entre les territoires et mettent à mal tout notre modèle social.
La future réforme de la Fonction publique que tente d’imposer le gouvernement, c’est la fin du paritarisme et de toute transparence dans les mutations, les promotions. C’est une remise en cause sans précédent de nos statuts.
12 février 2019 : Nuit des collèges et des lycées
Pour montrer leur rejet des réformes des lycées et de la voie professionnelle, de nombreux lycées se mobiliseront le soir du 12 février.
Dans l’Essonne, à la rentrée 2019, 1 168 élèves supplémentaires sont prévus dans les collèges. Cette année encore, les dotations seront largement insuffisantes. Il n’y aura que 94 « Heures Postes » en plus : soit l’équivalant d’un poste d’enseignant·e pour 224 élèves supplémentaires !
13 février : la mobilisation continue !
Devant les baisses de moyens dans l’ensemble du service public d’Education. Contre l’ensemble des contre-réformes menées par le Ministre Blanquer. La CGT Education 91 appelle les personnels des écoles et des établissements scolaires de l’Essonne, ainsi que les parents d’élèves, à se rassembler le mercredi 13 février 2019 à Évry, devant la DSDEN (1 Boulevard de France) à partir de 17h30, à l’occasion du CDEN (Conseil départemental de l’Éducation nationale).
Depuis plusieurs semaines, le gouvernement mène une opération appelée “concertation nationale sur l’École inclusive” et doit rendre ses conclusions le 11 février 2019. Le ministère prétend vouloir “rendre attractif le métier d’AESH, lui donner des perspectives d’avenir” mais ne propose aucune mesure concrète pour y arriver. Au contraire, le gouvernement semble s’orienter vers davantage de dégradation des conditions d’emploi des AESH. Quant à la concertation, celle-ci n’est en fait que de l’affichage, il n’y a aucun dialogue social: les AESH restent les oublié·es du système éducatif.
Depuis de très nombreux mois, la CGT Educ’action dénonce les politiques gouvernementales et les attaques contre les salaires, les pensions, les minimas sociaux et la protection sociale. Elle s’oppose également aux nombreuses contre-réformes dans l’Education porteuses de régression sociale pour les élèves et les personnels (réforme des lycées, liberté d’expression menacée, liberté pédagogique restreinte dans le premier degré...). Depuis les premières annonces, la réforme est majoritairement rejetée par les personnels, car profondément destructrice de la voie professionnelle et inégalitaire pour les élèves.
Avec l’intersyndicale, la CGT Educ’Action revendique le retrait de la réforme et un plan d’urgence pour la voie pro ! Mobilisons-nous le 5 février !
Réunissons-nous en AG pour discuter de la poursuite du mouvement !
Manifestation Unitaire Île-de-France
14h Hôtel de ville de Paris
Depuis des mois, la CGT dénonce:
- les attaques contre les salaires, la baisse des pensions et minima sociaux
- les attaques contre la protection sociale
- les réformes porteuses de régression sociale pour l’Éducation nationale et ses personnels.
Télécharger le tract d’appel à la grève …
Lire également le tract de l'URIF-CGT qui invite à paralyser l'économie.
Lire l'appel unitaire. des Unions régionale FSU, FO et Solidaires
Manifestation Unitaire Île-de-France
14 heures Hôtel de ville de Paris